Just trying to find my way through ...

My photo
Morges, State of Vaud - Lemanic Arc, Switzerland
Mon arrière Tante Léonie demandait :
"Es-tu curieux ? Alors tu vivras longtemps !"

Still a lot to do in one life & time is running out

Life
Born in Singapore. Ten unforgettful years: sounds, flavors, tastes, colors, kindness, Chinese, Malayans, Indians, Europeans
No Brasil morei um tempo. Fazenda, cacau, cheiros tropicais, sabores
Un año en Venezuela. Encuentro de las Aguas del Río Caroní con el Orinoco
Living now in Switzerland, close to the Léman. Why call it Lake of Geneva ?

I love
J my wife, D my son, T and Z my litle daughters, family, ski mountainering, biking, travels (too little this past decade)

I hate
Anger, violence, perhaps myself too ..?

Curious about
Different Ways of Living, Humanity, Struggle for Life, Sense of Life, Finding my Own Way Out

I strongly believe
Mankind is able to produce the Best and the Worst !

I like
Communication, however do not communicate that well with me nor with others ...

So and what now ?
No idea where this blog will bring me to ...

And you ?
Tell me something about you, would you?

Sunday, February 27, 2011

Globo Velo - Encore des Pélerins sur le Chemin

Deux passionés Anita et Pierre qui, sans le savoir, m'ont (re)donné la passion du Cheminement !

globovelo.ch
Pour moi, à l'origine de tout, c'est un père barroudeur et impossible à vivre qui a quitté la Suisse à 18 ans, des récits d'aventures d'un autre temps en Colombie Britanique (Canada), Brésil, Singapour, Borneo, Sarawak, Brunei, Bali et j'en passe, une enfance en Asie, la saveur des tropiques et l'air du large.

Ne jamais oublier non plus mon arrière Tante Léonie de Sampayo (-Recordon) une femme qui a su transmettre la curiosité de notre Planète et de ses habitants à
  • ... mon père tout d'abord, le petit suisse allemand venu faire son année de français en Romandie dans la ferme de mes grand parents dans le gros de Vaud, 
  • ... et par la suite à moi même.
Ensuite quelques lectures marquantes notamment un livre que j'aimerais retrouver: "Le Pouce Pousse" de deux jeunes étudiants baroudeurs. Puis, dans le désordre, d'autres références de grands voyageurs: comme The Pilgrims and the Mayflower, Ella Maillart, Alexandra David-Neel, Sir Richard Burton etc, sans oublier les Atlas du Monde avec des noms qui vous attirent irrésistiblement à la curiosité et à la découverte ...



Ma seconde vie et les 50 prochaines années à venir seront plus roulantes, je me le suis promis et je m'en m'en réjouis déjà ...

L'air du large m'aspire à nouveau irrésistiblement. Mon corps est jeune, mon mental l'est encore plus et va nous porter Jacqueline et moi sur le Pélerinage autour de la Terre à la rencontre de l'Autre. Merci à Jacqueline et son compagnognage et à tous les autres qui ont à me supporter ... !

Mais en fin de compte ils sont tous participants et acteurs de cette belle aventure qui se déroule à l'infini devant nos yeux, pleine d'inattendus. N'est-ce pas cela la Vie ?

Ce que je cherche ? Ne sais pas trop mais on y va c'est sûr et d'un pas décidé !

Merci à Anita qui, sans qu'elle ne s'en doute ni me connaisse, m'a prouvé encore une fois, que la vie ne s'arrête pas à la comptabilité des chiffres !


http://en.wikipedia.org/wiki/Richard_Francis_Burton

http://en.wikipedia.org/wiki/Pilgrim_Fathers

http://www.mayflowerhistory.com/History/history.php

Phobie sociale vous avez dit ?

Phobie sociale

Intéressant les infos.

Lorsqu'on est en plein dedans on ne sait même pas ce qui nous arrive, de quoi est fait notre souffrance, quelle est notre souffrance. Ben oui quoi, on n'est pas des fiottes alors on lève la tête haute et l'on part au combate. Mais le combat au fond est injuste!

Sans s'en rendre compte le phobique social passe son temps et ses énergies à esquiver, à masquer, sourire, maîtriser. Ben oui, il fat se prover à soi que l'on est pas si nul. Car au fond de soi-même on est absolument persuadé que nous sommes nul. Donc, il s'agit d'une bataille perdue d'avance. Une bataille qui ne finit jamais. Une bataille qui épuise.

A force de masquer, il devient son masque et ne connait plus le petit bonhomme à l'intérieur de lui qu'il a étouffé et qui pourtant ne demande qu'à vivre. On s'éloigne inexorablement de soi-même pour devenir une coquille. Les toubibs n'y voient que du feu car le phobique est un acteur de niveau. Il souffre en silence et ne dit surtout rien. Le toubib aussi, il n'y connait rien, la plupart du temps il a connu cela dans les livres et c'est tout. Même les grands psy n'y voient que du feu.

La dificulté c'est la non reconnaissaance. C'est l'impossibilité d'en parler. Avec qui ? De quoi ? Je ne comprenais pas mon mal. Comment en parler? Les amis ? Ce searit du genre remue toi, bouge, réagis !

Ils sont désarsonnnés et d'ailleurs c'est trop difficile de parler de soi et l'on est pas là pour le mélo drame.


On reste donc dans sa carapace.

Donnerrions nous ce même conseil à une personne qui souffre d'une maladie physiqe grâve ? Nan ! Alors prenez en de la graine


Pourquoi en parler ?
50 ans à se cacher c'est long. Surtout lorsque l'on veut-être vrai mais que l'on a été à côté de ses pompes. Auss, les désordres psy ce n'était pas à la mode. Emotions, maladie honteuse qu'il faut cacher à tout prix. Emotions ? A cacher à tout prix. Education british dans les colonies + protestantisme, humilité et force, + Daddy (le macho narcissique colérique) Maman (l'émotive soupireuse) et Pierre-yves  (la maîtrise des émotions à son exrtrême, contrôle, justice, pondération, exit colères, exit émotions: supermann) ... une mixture implosive que explose tôt ou tard par un merveilleux feu d'artifice !
En parler c'est simplement dire j'existe.

Pour moi-même, pour les autres. C'est peut-être vouloir expliquer aux aux ce que nous ne savions même pas de soi-même ?  

Le travail de fond
Ecoutez l'enfant qui est en vous. C'est lui qui doit vous guider !

En ce qui me concerne c'est 50 années de vécu atypique mais toutefois enrichissants dont 30 années de travaux préparatoires. Ensuite un burn out colossal qui a été le whistleblower pour moi. Un véritable privilége que je ne n'étais jamais accordé. Les phobiques sont des narcissiques, perfectionistes, ils veulent tout controler jusqu'à leurs émotions.

Là c'est le corps qui a dit non.
Et après la pénombre ... il y a toujours la lumière


La bonne nouvelle c'est non seulement que l'on s'en sort de la phobie sociale, mais que les phobiques ont la chance d'avoir une sensibilité et des émotions hors du commun. C'est notre privilége !
Parler avec des personnes qui représentent l'autorité.
Donner et recevoir des compliments.
Peur d'attendre des personnes devant chez soi (portail ou porte).
Prendre le bus, le métro et tous types de transports communs.
Marcher dans la rue.
Aller chez le coiffeur, le médecin, à l'hôpital...


La phobie sociale est dite généralisée si une personne présente la quasi totalité de ces peurs. Dans la réalité, la majorité des patients est plutôt concernée par certaines situations, d'où le terme anxiété sociale parfois préféré par les thérapeutes.


Exemple[modifier]Les personnes atteintes de phobie sociale pensent que toutes les personnes autour d'elles les regardent d'une manière différente ou perçoivent quelque chose d'étrange sur elles (principalement sur le visage). Par conséquent, les personnes qui souffrent de phobie sociale tentent d'éviter le regard des gens et marchent la tête baissée. Certaines personnes font tout pour ne pas sortir de chez elles ou, lorsqu'elles sortent, elles se sentent soulagée de revenir chez elles, le seul endroit où elles se sentent en sécurité.


Trouble de la personnalité évitante[modifier]Article détaillé : Trouble de la personnalité évitante.Selon l'approche française, il s'agit d'un repli sur soi-même dû à un manque de confiance en soi. Il consiste à éviter les situations d’angoisse liées à la peur d’être jugé, se retrouvant sous forme de timidité, de sensibilité au rejet et à la critique, et d'anxiété.


D'après le classement DSM IV : Il s'agit d'un mode général d'inhibition sociale, de sentiments de ne pas être à la hauteur et d'hypersensibilité au jugement négatif d'autrui qui apparaît au début de l'âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :


1.Le sujet évite les activités sociales professionnelles qui impliquent des contacts importants avec autrui par crainte d'être critiqué, désapprouvé ou rejeté ;
2.Réticence à s'impliquer avec autrui à moins d'être certain d'être aimé ;
3.Est réservé dans les relations intimes par crainte d'être exposé à la honte et au ridicule ;
4.Craint d'être critiqué ou rejeté dans les situations sociales ;
5.Est inhibé dans les situations interpersonnelles nouvelles à cause d'un sentiment de ne pas être à la hauteur ;
6.Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres ;
7.Est particulièrement réticent à prendre des risques personnels ou à s'engager dans de nouvelles activités par crainte d'éprouver de l'embarras.


Comorbidité[modifier]Quelques études, au Brésil notamment, ont montré que :

72 % des personnes souffrant de phobie sociale sont aussi victimes d'une dépression majeure (en associant la dysthymie et la dépression).
28 % présentent des symptômes de troubles du comportement (attaques de panique).
11 % ont des troubles obsessionnels compulsifs (TOC).
11 % déclarent abuser ou être dépendants de l'alcool.
6 % des personnes touchées par cette pathologie ont une phobie sociale généralisée.


Une autre étude a montré que :

45 % de ces personnes sont aussi atteints d'agoraphobie.
19 % sont dépendants à la drogue.
17 % sont alcooliques.

Enfin, environ 15 % des phobiques sociaux présentant des troubles dépressifs ont déjà tenté de se suicider.

[réf. nécessaire]


Traitement[modifier]Une baisse de l'estime de soi est couramment engendrée par ce trouble, après des années elle peut engendrer une dépression. Si le trouble n'est pas résolu, cette boucle peut se reproduire. le risque de dépression majeure chez un phobique social est multiplié par trois.


Ordre de priorité de traitement :
1.La dépression (habituellement traitée comme une dépression classique).
2.L'anxiété et le trouble en lui-même (traité par exemple via une psychothérapie cognitivo-comportementale).

Discussion[modifier]Le diagnostic de phobie sociale a fait l'objet de passablement de controverses notamment autour de la question du rôle qu'ont tenu les pharmas dans sa constitution. Il reste un diagnostic à étudier sur le long terme quant à sa validité autre que pour la délivrance de psychotropes[1].


Voir aussi[modifier]
Pierre-Yves
... sur Chemin à la recherche de ma Légende Personnelle
... plein de projets passionants en tête pour mes 50 prochaines années de vie sur la Planète !
... me réjouis de rencontrer les autre Pélerins sur le Chemin !

Quand l'Elève sera prêt, le Maître viendra

Phobie sociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Aller à : Navigation, rechercher La phobie sociale ou anxiété sociale est une peur persistante et intense de se trouver dans une situation sociale où la personne s'expose à l'observation des autres.

Les personnes affectées par cette pathologie savent que leurs peurs sont irrationnelles. Pourtant, elles appréhendent énormément les situations dans lesquelles elles sont confrontées au regard des autres. Ainsi elles font tout pour les éviter. Lorsqu'elles sont dans les situations redoutées, les personnes atteintes de phobie sociale ont tendance à croire qu'elles sont jugées négativement. Celles-ci ont peur d'être vues comme anxieuses, folles ou stupides. De facto, elles s'isolent.

Sommaire [masquer]

1 Historique
2 Définition
3 Origine
4 Symptômes
5 Situations redoutées
5.1 Exemple
6 Trouble de la personnalité évitante
7 Comorbidité
8 Traitement
9 Discussion
10 Voir aussi
10.1 Notes et références
10.2 Liens internes
10.3 Bibliographie


Historique[modifier]Janet utilise pour la première fois le terme "phobie sociale" en 1903 et range ce trouble dans le groupe des phobies de situations, aux côtés de l’agoraphobie et de la claustrophobie. Il intègre par ailleurs au groupe des phobies sociales l’éreutophobie, la phobie du mariage, la phobie du professeur devant faire la classe et la phobie des domestiques (ne rien oser demander à sa bonne). Dans les années soixante, le terme de phobie sociale sera repris par les comportementalistes qui travaillent sur les techniques d’exposition et d’affirmation de soi. Ils contribueront à l’individualisation du trouble dans les années soixante-dix avec Marks et Gelder qui définiront la phobie sociale comme une peur de parler, de manger, de boire, de trembler, de rougir, d’écrire, de vomir en présence des autres.

Définition[modifier]La phobie sociale (DSM-IV 300.23) consiste en une peur persistante et intense d'une ou de plusieurs situations sociales ou de performance qui peuvent exposer la personne à l'observation attentive d'autrui. Celle-ci craint que ses actions la mettent dans une situation embarrassante ou humiliante. Par ailleurs, les enfants qui ont ce trouble ont des relations normales surtout avec leur proches, et leurs amis. Mais ceci n'est pas systématique, il faut en fait que le sujet soit certain d'être aimé pour pouvoir s'impliquer dans des relations. Il faut un autre critère pour poser ce diagnostic, soit que la situation sociale redoutée provoque chaque fois la même anxiété, qui peut prendre la forme d'une crise de panique. Les situations sociales ou de performance provoquent une détresse intense et sont évitées, mais cet évitement perturbe profondément les activités de l'individu, notamment les activités scolaires de l'enfant. Enfin, pour poser ce diagnostic chez une personne de moins de 18 ans, il faut que les symptômes durent depuis au moins six mois.

Les phobies sociales peuvent être très variées (on estime que 3% à 13% de la population en est atteinte), cela peut aller d'une gène limitée à une situation (éreutophobie : peur de rougir en public) à un blocage social complet, empêchant la personne de sortir de chez elle.

Attention de ne pas confondre la phobie sociale et la timidité ou le trac. Ce sont des réactions normales, et qui arrivent à se combattre par la volonté. La phobie sociale va bien au-delà, la souffrance est réelle et demande souvent un traitement psychologique pour apprivoiser ces réactions.

Origine[modifier]La phobie sociale est généralement un comportement acquis, même si une étude a montré que 30 a 40% de la phobie sociale est d'origine génétique[réf. nécessaire]. Parmi les causes environnementales, on trouve des situations d'environnement familial renfermé, diminuant les expériences de sociabilisation. La phobie devient acquise lors de l'adolescence, parfois à la suite d'un événement traumatisant. La phobie sociale peut aussi être due à une surprotection de l'enfant par des parents trop possessifs ou eux-mêmes angoissés. L'enfant est alors peu habitué à se retrouver seul et a tendance à rester dépendant de ses parents à l'adolescence et même à l'age adulte.

Symptômes[modifier]Les symptômes d'un phobique social sont nombreux. En voici quelques-uns

Anxiété, parfois associée à des attaques de panique.
Anxiété anticipée, avant même la situation redoutée.
Anxiété intense à l'intérieur d'un petit groupe de personnes.
Tremblements, dans les mains, les jambes ou la voix.
Erubescence.
Sueur importante.
Peur d'être observé et jugé négativement par les autres.
Peur de balbutier et de rougir.
Peur d'être vu comme fou, faible ou stupide.
Peur de ne pas intéresser les autres.
Tendance à éviter les situations sociales dans lesquelles la personne se sent gênée (isolement).


Certains utiliseront l'alcool ou autres drogues pour atténuer les peurs/inhibitions liées à des activités sociales. Il est très commun chez les personnes atteintes de s'auto-traiter de cette façon, plus fréquemment lorsque non diagnostiqué ou non traité. Il en résulte souvent une dépendance à l'alcool ou aux drogues. En effet, environ 39 % des phobiques sociaux présentaient au moins un abus ou une dépendance à une substance psychoactive.


Situations redoutées[modifier]Les situations sociales dans lesquelles les personnes touchées par cette pathologie montrent ces symptômes sont:

Parler en public.
Boire ou manger en public.
Aller à ou organiser des fêtes.
Écrire et signer en public.
Traverser les passages cloutés.
Regarder une personne dans les yeux.
Peur de parler et d'engager une conversation.
Passer des appels téléphoniques.Donner et défendre ses propres opinions.
Se retrouver avec des personnes qui les attirent.
Se retrouver dans un espace clos où se trouvent de nombreuses personnes. (magasins, centres commerciaux,...)
Se faire des amis.